The same Sophie, next year, in 2010. The same Paris Conservatoire, venerable house. At the difference of jazz Masters' recitals in conservatoire, no applause between musical pieces. That creates a tremendous tension. You retain your breath for one long hour and believe me, it's long - for the musician and the public alike. I am no fan of applause (may be hypocrite) but it allows to release the pressure before going back to intense listening.
That's the last piece of her Master's final recital. I like that (and this time, she had slept, the night before).
La même Sophie, l'année suivante, en 2010. Le même conservatoire, vénérable maison. A la différence des prix de jazz, on n'applaudit pas pendant les Prix de classique, entre les oeuvres. Ça créé une chappe de plomb de tension. On reste en apnée pendant 1 heure et c'est long, tant pour le musicien que pour l'auditeur. L'applaudissement - que je ne vénère pourtant pas, loin s'en faut (loin sent faux !) - permet de relacher la tension, de décompresser avant de repartir dans l'écoute.
C'est la dernière pièce de son récital de Master final. J'aime bien (et elle avait dormi la veille, cette fois-ci).