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Jean-Pierre Marielle dans les Galettes de Pont-Aven

J'adore ce film de Joël Séria, sorti en 1975, un peu dans la veine des Valseuses, où Jean-Pïerre Marielle, en  Henri Serin, représentant en parapluies, usé - désabusé - envoie tout balader, change radicalement de vie pour devenir peintre et laisser libre cours à sa vision de la liberté, de la vraie vie.

La scène présentée ici est une anthologie. Encore représentant, il séduit une commerçante provinciale et les dialogues avec sa voix inimitable ponctués de “Nom de Dieu de bordel de merde“ sont magnifiques.

Pas pour les moins de 12 ans ! Enjoy and enjoy !

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Marx Brothers

Trois fabuleux extraits video Quick Time des Marx Brothers qui mériteraient de se trouver dans une rubrique guest star de la page CNSM pour l'incroyable virtuosité dont ils font preuve mais que j'ai décidé de placer dans cette page parce que le côté hilarant l'emporte. Ce que Somersest Maugham appelait "entertainment" dans le sens le plus noble du terme.

Chico Marx jouant du piano dans Monkey Business, en 1931 (02:13).

Un extraordinaire 4 mains mettant en scène Chico et Harpo, tiré de The Big Store. La VHS originelle était tellement abimée avec des sauts intempestifs d'images qu'il m'a fallu réaliser pas moins de 87 cuts de 1-5 frames (images) dans l'extrait de 03:06 que j'ai dû remplacer par des stills de même durée ... Ce fut laborieux mais ça passe.

Enfin, un extraordinaire duo piano/violon, extrait de La Pêche au Trésor (05:22) avec Chico et un superbe violoniste dont je n'ai pas vu le nom dans le générique.

François Jeanneau me dit, je cite :

« Il semblerait que ce soit Joe Venuti, qui était un plaisantin célèbre et néanmoins excellent violoniste, doué d'une technique irréprochable. Je ne vois que lui ... Il a été d'ailleurs, avec Eddie South, l'une des influences de Grappelli. Il vaut toujours mieux se renseigner auprès des vrais spécialistes ...  surtout à la retraite ... »

Ça joue grave ! Qu'est-ce qu'il faut bien jouer pour faire le mariolle de la sorte ! Ces extraits sont une sacré leçon de musique. Une leçon de musique sacrée.

A regarder en boucle et à charger absolument.

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defunesanim

Il y a 20 ans, le 27 janvier 1983, un immense acteur français, Louis de Funès, s'en allait dans le paradis des comiques. Que ces quatorze petits extraits en vidéo QuickTime lui rendent hommage.

Extraits des films suivants :

La gde vadrouille

Ah ! les belles bacchantes

Hibernatus

La soupe aux choux

Fantomas

La belle américaine

Oscar

Le grand restaurant

Le gendarme se marie

Le gentleman d'Epsom

Rabbi Jacob

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Fernand RaynaudFernand Raynaud

Allez ! je me lâche ! Partager est Plaisir ! 5 plats de résistance. De quoi faire bombance, roter sa joie. Les croissants, les oeufs, les gens sont méchants, le timbre à 0,25F, j'suis pas un imbécile.

Le menu vous convient-il ? La table est dressée. La maison offre le digestif. Je vous apporte l'addition ?

Avec ce festin, vous allez sans doute me bénir - moi qui n'ai jamais eu la chance de tomber dans un bénitier quand j'étais petit  ni même de rencontrer madame de Lonbec - vous savez - celle qui a la tête à manger des gâteaux secs - et madame Chalaman ... la femme du monsieur qui a le stylo à la pochette, le sous-chef de rayon dans les grands magasins.

Il n'y a vraiment, dans ce monde, que les comiques qui soient sérieux.

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Quel mec extraordinaire ! Mieux que tous les anti-dépresseurs. Doit être remboursé à 100% par la Sécurité Sociale ! A prendre, sans retenue, matin, midi et soir, pour le restant de nos jours :

Tel père, tel fils (Gérard) (05:15), le CRS arabe (05:22), je me marre (03:00), le clochard analphabête (05:44)

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Six sketches du doyen des comiques français.

Le génie démo.

Régalez-vous.

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Charles Chaplin

Il faut absolument revoir ces extraits video de Chaplin que je vous livre en intra-veineuse, dans le main-stream.

Deux scènes de Modern Times (1936) quand, s'apprêtant à chanter le célèbre "je cherche après Titine", il perd ses manchettes et doit improviser mime et paroles. Enfin quand il essaie la machine-à-manger.

Deux scènes tirées du Dictateur (The Great Dictator, 1940) - en français et anglais - quand Chaplin,  barbier, fait son speech humaniste - une véritable prière et quand il se prend pour l'empereur du monde en jouant avec le globe terrestre.

La scène mythique de la Ruée vers l'Or (Gold Rush, 1925) quand il fait sa géniale danse avec des petits pains et des fourchettes.

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Philippe Noiret en père Latuile, dans Les Copains

Allez vite voir la vidéo du fabuleux speech déclamatoire de Philippe Noiret, extrait du film "Les Copains" d'Yves Robert, 1964, d'après le roman de Jules Romains.

Ce film sur l'amitié, dont la musique est de Georges Brassens, est vent de liberté. Anti-militariste, anti-religieux, anti-bétise ...

L'histoire de 7 copains, d'horizons divers, qui foutent le bordel pour rester sains. Du baume au coeur. J'aime tellement ce passage où Philippe Noiret, déguisé en prélat, tout chaud revenu de Rome, se livre à une géniale harangue sur la libération sexuelle (on est en 64 ... à 4 ans de 1968) que c'est presque comme si je l'avais écrit moi-même ! 

Il me semble qu'il n'y a plus de films populaires de cette impertinence aujourd'hui. Sommes-nous trop abattus ? y-a-t-il trop de chomage ? trop de lois aujourd'hui ? On dirait que personne n'ose plus se rebeller. Apathie, humiliation, peur, fatigue générale. La masse baisse la tête. Heureusement, il y a la rue, la banlieue qui PARLE et encore quelques crânes visionnaires ici et là. Le reste est sans parole ...

Jusqu'à l'âge de 20 ans, j'ai cru que j'm'appelais silence

cit. Coluche.

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Robert Lamoureux

Enjoy videos ! Une merveille ! Le texte sur le dernier de la classe ainsi que l'infinie tendresse dans les chansons histoire des roses et viens à la maison ...

Respect aux chansonniers, comme on les appelait à l'époque. Ça cause, ça chante, ça cause cru et derrière tout ça - comme un grand voile de pudeur étendu pour brouiller les pistes - de l'amour, merde, de l'amour - gros comme ça et à revendre. de la tendresse, de l'humanisme. En bref, tout ce qui fait défaut à ceusses qui nous gouvernent. Un ange passe, les ailes chargées de Scuds.

— Que demander de plus ? sinon de télécharger sans plus tarder, de visser les yeux dans l'écran et de plonger les oreilles de son coeur dans le propos de Lamoureux.

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Enfin, un magnifique texte, qu'avec mes mots, je résumerai ainsi :

— Heureusement que tu es fatigué ! un jour tu ne seras pas fatigué, tu seras mort !

L'éloge de la fatigue

Vous me dites monsieur, que j'ai mauvaise mine.
Qu'avec cette vie que je mène, je me ruine.
Qu'on ne gagne rien à trop prodiguer.
vous me dites enfin, que je suis fatigué.
Oui je suis fatigué monsieur, mais je m'en flatte,
J'ai tout de fatigué : le cœur, la voix, la rate.
Je m'endors épuisé, je me réveille las,
Mais grâce à Dieu, je ne m'en soucie pas.
Et quand je m'en soucie, je me ridiculise,
La fatigue souvent n'est qu'une vantardise.
On est jamais aussi fatigué qu'on le croit,
Et quand cela serait, n'en a t-on pas le droit ?
Je ne vous parle pas des tristes lassitudes,
Qu'on a lorsque le corps harassé d'habitudes,
N'a plus que pour se mouvoir que de pales raisons.
Lorsqu'on fait de soi son unique horizon.
Lorsqu'on a rien à perdre, à vaincre ou à se défendre.
Cette fatigue là est mauvaise à entendre.
Elle fait l'œil morne, le front lourd, le dos rond,
Et nous donne l'aspect d'un vivant moribond.
Mais se sentir plier sous le poids formidable,
Des vies dont un beau jour on s'est fait responsable.
Savoir qu'on a des joies ou des pleurs dans ses mains,
Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain.
Savoir qu'on est le chef, savoir qu'on est la source,
Aider une existence à continuer sa course.
Et pour cela se battre à s'en user le cœur,
Cette fatigue là monsieur, c'est du bonheur.
Et sûr qu'à chaque pas, chaque assaut qu'on livre,
On va aider un être à vivre ou à survivre.
Et sûr qu'on est le port et la route et le guet,
Où prendrait-on le droit d'être fatigué ?
Ceux qui font de leur vie une belle aventure,
Marque chaque victoire en creux sur leur figure.
Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus,
Parmi tant d'autres creux, il passe inaperçu.
La fatigue, monsieur, est un prix toujours juste,
C'est le prix d'une journée d'efforts et de lutte.
C'est le prix d'un labeur, d'un mur ou d'un exploit,
Non pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit.
C'est le prix d'un travail, d'une journée remplie,
Et c'est la preuve aussi qu'on vit avec la vie.
Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,
J'écoute mes sommeils et là, je me sens fort.
Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,
Et ma fatigue alors, c'est une récompense.
Et vous me conseillez d'aller me reposer,
Mais si j'acceptais là ce que vous me proposez,
Si je m'abandonnais à votre douce intrigue,
Mais je mourrais monsieur, tristement de fatigue.

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Le roi du canular décoiffe le web ! 

Le parti d'en rire, une reprise du boléro de Ravel, est un modèle du genre dont nos politiciens feraient bien de s'inspirer ...
Le schmilblick, qui sera repris par Coluche des années plus tard et enfin, le célèbre sketch du sage Rabindranath Duval.
Pas la peine de les envelopper. C'est pour manger de suite.

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